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XIXème siècle

XXème siècle

années 2000

L'Amour, la Rupture

le Drame et l'Ivresse

Oeuvre 1

La Traviata

Giuseppe Verdi, 1853

Venise

Ouverture, Giuseppe Sinopoli

Opéra complet, 1988

 

Genre : Musique savante

Forme : Opéra en 3 actes

Débute par un prélude en 2 parties 1 : lente et 2 : tempo de valse lente

Epoque : Romantique

G.Verdi présente ici une critique de la société moralisatrice du XIXème siècle.

Inspiration : La dame aux camélias (A . DUMAS fils)

 

 

Analyse musicale :

Le prélude (ouverture) : 2 parties

Nuances pp p mf

Très mélodique

Tempo

Oeuvre 2

Formidable

Stromae, 2013

Album Racine Carrée

 

Musique populaire

Chanson+ vidéo (clip)

Forme RONDO

Refrain-couplet

Contemporaine

La vie quotidienne, la réalité

Le vin de l'assassin

Léo Ferré, 1967

Album Léo Ferré chante Baudelaire

Oeuvre 3

 

Poème de Charles Baudelaire

mis en musique par Léo Ferré :

 

Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

 

Le vin de l'assassin

 

Ma femme est morte, je suis libre !

Je puis donc boire tout mon soûl.

Lorsque je rentrais sans un sou,

Ses cris me déchiraient la fibre.

 

Autant qu'un roi je suis heureux ;

L'air est pur, le ciel admirable...

Nous avions un été semblable

Lorsque j'en devins amoureux !

 

L'horrible soif qui me déchire

Aurait besoin pour s'assouvir

D'autant de vin qu'en peut tenir

Son tombeau ; - ce n'est pas peu dire :

 

Je l'ai jetée au fond d'un puits,

Et j'ai même poussé sur elle

Tous les pavés de la margelle.

- Je l'oublierai si je le puis !

 

Au nom des serments de tendresse,

Dont rien ne peut nous délier,

Et pour nous réconcilier

Comme au beau temps de notre ivresse,

 

J'implorai d'elle un rendez-vous,

Le soir, sur une route obscure.

Elle y vint ! - folle créature !

Nous sommes tous plus ou moins fous !

 

Elle était encore jolie,

Quoique bien fatiguée ! Et moi,

Je l'aimais trop ! Voilà pourquoi

Je lui dis : Sors de cette vie !

 

Nul ne peut me comprendre. Un seul

Parmi ces ivrognes stupides

Songea-t-il dans ses nuits morbides

A faire du vin un linceul ?

 

Cette crapule invulnérable

Comme les machines de fer

Jamais, ni l'été ni l'hiver,

N'a connu l'amour véritable,

 

Avec ses noirs enchantements

Son cortège infernal d'alarmes,

Ses fioles de poison, ses larmes,

Ses bruits de chaîne et d'ossements !

 

- Me voilà libre et solitaire !

Je serai ce soir ivre mort ;

Alors, sans peur et sans remord,

Je me coucherai sur la terre,

 

Et je dormirai comme un chien !

Le chariot aux lourdes roues

Chargé de pierres et de boues,

Le wagon enragé peut bien

 

Ecraser ma tête coupable

Ou me couper par le milieu,

Je m'en moque comme de Dieu,

Du Diable ou de la Sainte Table !

 

Version de Bell œil « Bell œil Hurle tout Léo FERRE »

Musique populaire- texte savant

Chanson : Forme strophique

Contemporaine (musique)

Romantique (poème)

Tu verras

Claude Nougaro, 1978

adaptation française de O que será de Chico Buarque de Holanda

Oeuvre 4

 

Musique populaire du brésil

Chanson : Forme strophique

Contemporaine

Reprise musique « O que sera »

O que sera de Chico Buarque de Holanda

Paroles

 

Formidable, fooormidable

Tu étais formidable, j'étais fort minable

Nous étions formidables

Formidable

Tu étais formidable, j'étais fort minable

Nous étions formidables

 

Eh le bébé, oups : mademoiselle

Je vais pas vous draguer, promis, juré

J'suis célibataire et depuis hier putain

J'peux pas faire l'enfant mais bon c'est pas... eh revient !

5 minutes quoi j't'ai pas insulté, j'suis poli, courtois

Et un peu fort bourré et pour les mecs comme moi

Vous avez autre chose à faire, vous m'auriez vu hier

Où j'étais

 

Formidable, fooormidable

Tu étais formidable, j'étais fort minable

Nous étions formidables

Formidable

Tu étais formidable, j'étais fort minable

Nous étions formidables

 

Eh tu t'es regardé, tu t'crois beau

Parce que tu t'es marié,

Mais c'est qu'un anneau mec, t'emballes pas,

Elle va t'larguer comme elles font chaque fois

Et puis l'autre fille tu lui en a parlé?

Si tu veux je lui dit comme ça c'est réglé

Et au p'tit aussi, enfin si vous en avez

Attends 3 ans, 7 ans et là vous verrez

 

Formidable, fooormidable

Tu étais formidable, j'étais fort minable

Nous étions formidables

Formidable

Tu étais formidable, j'étais fort minable

Nous étions formidables

 

Et petite au pardon : petit

Tu sais dans la vie y'a ni méchant ni gentil

Si maman est chiante c'est qu'elle a peur d'être mamie

Si papa trompe maman c'est parce que maman vieillit

Pourquoi t'es tout rouge? Beh reviens gamin

Et qu'est-ce que vous avez tous? A me regarder comme un singe, vous

Ah oui vous êtes saint vous

Bande de macaques !

Donnez moi un bébé singe, il sera

 

Formidable, fooormidable

Tu étais formidable, j'étais fort minable

Nous étions formidables

Formidable

Tu étais formidable, j'étais fort minable

Nous étions formidables

 

 

Analyse Stromae : cliquez ici

Addio del passato

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